19 mai 2004, 0h00
Partager
Déjà, dans de nombreuses universités européennes, il n’y a plus de «tenure», c’est-à-dire de postes à vie. Les contrats des professeurs y sont renouvelés sur la base de leur travail dans la recherche et l’enseignement. On peut trouver cela inquisitorial puisqu’un tel renouvellement passe, entre autres, par une évaluation de la part des étudiants. Mais c’est un moindre mal par rapport aux ronronnements soporifiques. Il y a toute une palette de mesures à prendre à la fois pour améliorer la qualité...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT