06 avril 2001, 0h00
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Il est bien connu qu’une bourse en pleine euphorie entraîne les investisseurs à se faire plaisir en s’offrant des objets d’art. Depuis un an, le sérieux coup de frein à la croissance, tant aux Etats-Unis qu’en Europe, n’incite plus les collectionneurs à acheter sans condition. Le choix devient très sélectif et les prix sont revus à la baisse. La célèbre foire de Maastricht, qui a eu lieu du 10 au 18 mars, vient de prouver cette tendance. Quand les cotations du Nasdaq, du Dow Jones et du CAC sont...
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