01 avril 2004, 0h00
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Quand les affaires étaient prospères, que l’horlogerie vendait à tour de bras, les yeux des investisseurs du monde entier brillaient de convoitise. Du coup, nombre d’entre eux cherchèrent à entrer dans tel ou tel capital, à prendre le contrôle de telle ou telle marque de prestige. Mais voilà, les belles marques ne sont pas à vendre. Ou alors tellement chères…
Pour certains investisseurs à l’ego surdéveloppé, entrer en horlogerie, c’est presque comme vivre une relation coupable avec une danseuse...
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