09 juillet 2001, 0h00
Partager
Il est à la fois stupéfiant et rassurant que les bonnes relations personnelles entre un haut commis de la Confédération et le patron d’une grande entreprise débouchent sur une manière entièrement nouvelle de concevoir la politique. Dans le cas qui nous occupe, ce sont indéniablement les contacts entre Beat Hotz-Hart, vice-directeur de l’OFFT, et Jens Alder, patron de Swisscom, qui ont présidé à la gestation d’un partenariat public-privé d’importance stratégique pour l’avenir de ce pays. On ajout...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT