28 décembre 2001, 0h00
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Nul besoin d’être grand clerc pour dire que l’année qui s’achève aura été exceptionnelle dans le mauvais sens du terme. Dès lors, les choses ne pourront que mieux aller en 2002. C’est ce que doivent se dire certains dirigeants, qui ont été de gros destructeurs de valeur boursière en 2001 plus particulièrement.
La figure emblématique à cet égard est l’ancien patron du Vorort, Andres F. Leuenberger, qui en tant qu’administrateur, doit assumer la déconfiture de Swissair. En outre, il a vu la valeur...
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