29 août 2003, 0h00
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«Si l’on ne parle guère du diabète dans le bus ou si les pouvoirs publics n’y prêtent guère attention en dépit des projections alarmantes formulées cette semaine par les plus sérieuses institutions médicales internationales (voir nos pages Savoirs d’hier), c’est que le diabète n’apparaît jamais sur un certificat de décès», a déploré à Paris le professeur Philippe Halban, de Genève, président de l’Association européenne pour l’étude du diabète (EASD). «Car on ne meurt pas du diabète, mais de tout...
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