14 février 2001, 0h00
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Le nouveau Tribunal pénal économique neuchâtelois a siégé pour la première fois hier, à l’occasion d’une affaire mineure qui a nécessité pas moins de sept années d’instruction. Deux accusés comparaissaient sous l’accusation de malversations comptables. Les deux prévenus occupaient les postes de chef comptable et de responsable de production de l’entreprise horlogère Bonnet Design&Technology, dont la faillite a été prononcée en octobre 1993. Ils sont accusés d’avoir procédé à diverses falsificati...
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