07 janvier 2009, 0h00
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L’avenir de la place financière suisse est-il pour longtemps prétérité par les errances de quelques unes de ses banques? Antoine Spillmann pense tout le contraire, pour autant que les professionnels jouent la «transparence absolue». C’est le mot d’ordre, la ligne de conduite, de ce gestionnaire de fortunes privées de 46 ans, non, car le terme est galvaudé par certains, de ce gestionnaire de fortune de clients privés, donc, qui l’a incité à reprendre avec ses partenaires de Bruellan 11,82% du cap...
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