20 décembre 2010, 0h00
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C'était avant la Première guerre mondiale et le nom de La Paix paraissait un symbole prometteur avec sa colombe au rameau d'olivier. En 1910, il y a juste un siècle, l'architecte Alphonse Laverrière, à qui Lausanne doit le Pont Chauderon, le Tribunal Fédéral et la Tour Bel-Air, mettait la dernière main au Grand Hôtel de La Paix. Certaines des 89 chambres proposaient même une salle de bain privative avec eau chaude, un luxe alors! «Il avait coûté 4 millions de francs, somme considérable à l...
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