18 septembre 2000, 0h00
Partager
«La faute ne revient pas à l’économie européenne qui va bien, ni aux entreprises plus compétitives que jamais, ni aux employés dont la productivité rattrape celles des Américains. Elle vient des politiciens.» Pour qualifier les problèmes de l’euro, l’éditorial de The Economist de vendredi dernier tranche. Le flou du projet européen, l’absence d’harmonisation entre les politiques budgétaires et la théâtralisation des débats entre institutions et acteurs sont la cause de la perte de crédibilité d’...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT