13 janvier 2009, 0h00
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On savait qu’un mauvais sommeil pouvait avoir une incidence négative sur les performances du système immunitaire, en réduisant par exemple l’activité des lymphocytes-T ou en limitant la production par l’organisme de l’interleukine-2. On avait également remarqué qu’un manque de sommeil diminuait la réponse des anticorps lors d’une hépatite A ou d’une vaccination contre la grippe. Mais est-ce qu’un sommeil de mauvaise qualité, ou trop court, pourrait nous rendre plus susceptibles aux virus du rhum...
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