26 juin 2009, 0h00
Partager
Elles ne surfent pas sur la mode anti-paradis fiscaux, mais les conclusions de l’étude de l’Oxford University Centre for Business Taxation, réalisée pour le compte du Department for International Development, sont claires: selon elles, les pertes résultant du transfert de richesses des multinationales des pays en développement ayant recours à l’évasion fiscale sont «radicalement surestimées», tout comme l’évasion fiscale des personnes les plus riches, qui serait très inférieure aux 100 à 150 mil...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT