22 février 2001, 0h00
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Dire que le rapport de la Commission parlementaire sur la Suisse est un véritable réquisitoire, n’est en rien une exagération. Mais au-delà de la dénonciation que constitue ce «rapport d’information» sur le «combat de façade de la Suisse contre le blanchiment d’argent», c’est le regard d’observateurs européens posé sur une société mal connue qui perce. Les termes «spécificité» et «caractéristique» rythment le rapport.
Bon nombre des pratiques de la vie politique et financière de la Confédération...
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