06 avril 2000, 0h00
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Comme l’impose la constitution en cas de décès ou d’incapacité de son chef, le Gouvernement japonais a démissionné en bloc mardi pour combler le vide politique créé par l’indisponibilité du Premier ministre Keizo Obuchi, victime d’une embolie cérébrale ce week-end. La rapidité de cette décision a surtout été motivée par des échéances importantes: l’éruption du volcan Usu et ses milliers de sans-abri, le sommet du G8 en juillet à Okinawa et les élections générales prévues, en principe, en octobre...
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