03 novembre 2003, 0h00
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Il flotte à Bruxelles un parfum, fétide, de fin de règne. Un an avant l’expiration de son mandat, le 31 octobre 2004, la Commission européenne présidée par Romano Prodi est à bout de souffle. En gaspillant le peu d’énergie qui lui reste à envenimer le débat sur l’avenir de l’Union et à se dépêtrer des scandales financiers dont Il Professore a maladroitement contribué à gonfler l’importance, elle a même réussi à s’autodétruire. Quel gâchis, alors que se profilent le plus large et périlleux élargi...
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