04 janvier 2006, 0h00
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Sur un plan quantitatif, le geste n’a que peu d’importance : le Brésil vient d’annoncer sa volonté de rembourser 135,1 millions de dollars à l’ONU. En regard de la dette extérieure, ce n’est qu’une goutte d’eau. Mais il a son importance symbolique : en faisant état de sa volonté de régler une créance ouverte depuis dix ans, le plus grand pays d’Amérique latine tient à effacer des esprits l’image d’une économie gangrenée par les déséquilibres macroéconomiques et le surendettement et la remplacer ...
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