16 juin 2005, 0h00
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La révision de la loi sur le marché intérieur, sur laquelle le débat se poursuit aujourd’hui, a ceci de paradoxal qu’elle n’intervient que dix ans après la première, dont les effets ont été imperceptibles. Trop souvent, les chapelles cantonales – celles des fonctionnaires et des politiques comme des corporations protectionnistes – ont retardé le décloisonnement du marché. Or, quelque 250.000 personnes sont concernées par ces obstacles érigés par l’Etat. Dans l’enseignement, la santé, l’ingénieri...
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