11 février 2004, 0h00
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Comme au troisième trimestre, le bénéfice d’UBS dépasse à nouveau les attentes. L’année de l’intervention en Irak et des craintes d’entrée en déflation, la banque de Marcel Ospel annonce un bénéfice de 6,3 milliards de francs, le deuxième meilleur résultat de son histoire. Qui sera le premier à dénoncer les «bénéfices indécents des banques suisses»? Il serait plus avisé d’analyser la performance opérationnelle exemplaire de l’institut financier, capable d’offrir une rentabilité des fonds propres...
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