16 septembre 2008, 0h00
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Ce nouvel épisode de la crise du crédit (lire également en pages 2, 3, 9 et 12), particulièrement sanglant, a provoqué un engouement pour les obligations gouvernementales qui bénéficient à nouveau d’un mouvement de fuite vers la qualité et d’un assombrissement des perspectives conjoncturelles. Quelques jours après le renflouement historique et la nationalisation «de facto» des géants du refinancement hypothécaire, les événements s’accélèrent et prennent une tournure franchement dramatique. Trois...
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