22 avril 2009, 0h00
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La crise a changé bien des choses pour le Fonds monétaire international. Cette institution importante mais mal-aimée, emblématique de ces dispositifs créés après-guerre pour veiller sur l’économie mondiale, semblait, il n’y a encore que quelques mois, vouée à l’insignifiance.
Le Fonds était depuis longtemps devenu le souffre-douleur de la gauche, comme de la droite. La première le trouvait trop sourcilleux sur les questions budgétaires et trop arc-bouté sur l’orthodoxie économique, la seconde l...
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