07 mai 2009, 0h00
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Dans un document de travail qu’elle a remis aux Vingt-Sept, et dont nous avons pris connaissance, la Commission européenne décrit la logique qui sous-tend sa volonté de (re) négocier des accords sur la lutte contre la fraude entre l’UE d’un côté, la Suisse, le Liechtenstein, Andorre, Saint-Marin et Monaco de l’autre, afin de graver dans le marbre les engagements que ces pays ont pris en matière d’assistance administrative en matière fiscale. Bruxelles estime que c’est la façon «la plus cohérente...
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