29 octobre 2004, 0h00
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Pour Rudolf Zumbühl (TCS), avec une taxe sur le CO2 de 30 cts par litre, le prix de l’essence dépasserait celui des pays voisins. Le «trourisme de l’essence» s’inverserait aux frontières et le fisc y perdrait 500 millions. Le bilan suisse d’émission de CO2 s’en trouverait embelli, mais seulement sur le papier: ce serait un simple transfert à l’étranger. Dans ces conditions, une taxe sur le CO2 a quelque chose d’«irresponsable».
Le TCS fait partie d’une «plate-forme CO2» regroupant notamment les...
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