07 décembre 2007, 0h00
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«Une affaire très choquante.» Ainsi parle Walter Stoffel, président de la Commission de la concurrence (Comco), quand il évoque le cas du cartel tessinois de l’asphaltage. 17 des 18 entreprises actives sur le marché du revêtement des routes au Tessin se partageaient les marchés public et privé. Elles avaient même signé une convention qui assurait à chacune une part de marché définie au préalable, grâce à la répartition des appels d’offres publics ainsi que des mandats privés. C’est ce qu’on appe...
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