09 mai 2008, 0h00
Partager
La BCV a trop attendu. Et la volatilité des bourses le lui a fait sentir. Particulièrement active sur le marché suisse des produits dérivés, l’équipe de négoce de la Banque Cantonale Vaudoise a subi un fort retour de manivelle au premier trimestre. Les instruments financiers qui avaient fait ses beaux jours depuis dix ans lui ont coûté 35 millions de francs. La faute à un timing malencontreux de l’ajustement de ses positions.
«C’est la première fois que la BCV organise une conférence téléphon...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT