19 février 2001, 0h00
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Il fonce, le Parlement. Moins d’une semaine après l’affaire Peter Hess, ce président du Conseil national qui apportait sa prestigieuse caution à deux sociétés de l’industrie du tabac soupçonnées de contrebande et de lien avec la mafia, il fait le ménage. Et c’est bien. Mais c’est curieux qu’on y ait pensé si tard. Il suffit de lire l’article de loi de 1984 et ses étranges dispositions d’application – d’ailleurs méconnues d’une partie des députés – pour voir qu’elles étaient largement inapplicabl...
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