18 septembre 2009, 0h00
Partager
La Suisse se trouve aujourd’hui dans une position relative à envier. Les débats fiscaux se déroulant ces jours-ci aux Chambres fédérales n’ont certes pas de portée majeure. Les ajustements liés à la progression à froid, de meilleures conditions pour les familles et un cadre moins pénalisant pour l’entreprise devraient aller de soi.
Cependant, au contraire d’autres Etats avancés, la Suisse n’a pas commis l’erreur de la fuite en avant interventionniste. Dans la gestion de la crise bancaire, l’aid...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT