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Un an après, la valorisation des pertes liées au subprime fait toujours débat

Les méthodes avancées pour estimer les conséquences de la crise de l’hypothèque américaine de second rang posent encore de nombreux problèmes.

24 juin 2008, 0h00
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Le 18 juin 2007, Bear Stearns osait le terme «faillite» sur deux de ses fonds fortement exposés au marché hypothécaire de second rang (lire «L’Agefi» du 23 juin 2008). En quelques semaines, le monde entier ne parlait alors plus que du subprime et de cette crise qui a su mettre au défi les nouvelles armes de la planète finance. Les produits structurés et ses dérivés de crédit ont dès lors fait face à une remise en cause de leurs fondements et les banques centrales ont, pour leur part, dû innover ...
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