15 octobre 2003, 0h00
Partager
La présidence italienne de l’UE porte une énorme responsabilité, celle de revigorer l’élargissement comme aspect essentiel de
la nouvelle UE. Le meilleur endroit pour commencer serait d’inciter à une meilleure attitude envers l’adoption de l’euro pour les pays accédant à l’Union. En fait, la position paternaliste des institutions de l’UE envers les pays accédants menace de créer une Europe à deux vitesses qui compliquera les processus d’intégration.
Les nouveaux parfois plus zélés que les anci...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT