09 juillet 2007, 0h00
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Les surprises sont toujours inattendues. L’annonce de la démission avec effet immédiat du CEO de la première banque suisse vient troubler un début d’été qui pour les Suisses avait bien commencé avec les victoires historiques à Wimbledon pour Roger Federer et à Valence pour Alinghi avec la Coupe de l’America. Comme dans la Rome antique, on adule les champions qui gagnent. Lorsqu’ils perdent pied, ou que leur étoile faiblit, ils sont mis à l’écart. C’est ce qui est arrivé à Peter Wuffli. Faut-il s...
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