08 août 2003, 0h00
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Durant la récession, l’UBS était le «golden boy» de la banque d’affaires. Ses titres se comportaient bien, tandis que ceux de son rival traditionnel, le Credit Suisse, s’effondraient. Il y a quelques années, la décision de garder sous contrôle son livre de prêts a empêché les provisions d’avaler les bénéfices. Et tandis que de nombreuses compagnies traversaient des turbulences dans la banque d’affaires, l’UBS savait choisir des gourous et augmentait sa part de marché aux États-Unis. Mais une réc...
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