02 avril 2008, 0h00
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Il y a d’abord l’homme déchu, qui tombe de son piédestal. Emporté dans la débâcle de la plus grande banque de Suisse, de «sa» banque. Marcel Ospel, le golden boy parti de rien, ne tiendra pas sa dernière promesse, celle de rester une année encore à la tête d’UBS. Oubliées les déclarations de février: le président du conseil d’administration a annoncé hier qu’il poserait les plaques le 23 de ce mois, lors de l’assemblée générale. Encore un mensonge, encore une fausse note, pour celui qui n’a jama...
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