15 février 2008, 0h00
Partager
Après l’annonce préalable le 31 janvier par le groupe UBS d’une perte nette de 4,4 milliards de francs au titre de l’exercice 2007 (12,4 milliards pour le seul quatrième trimestre), les investisseurs espéraient, sans trop y croire, que le pire était passé. Et que la clientèle du premier gérant de fortunes privées au monde continuait à lui faire confiance. L’apport de capitaux de la clientèle, encore substantiel au troisième trimestre, s’est-il tari voire inversé? Or les chiffres communiqués à ce...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT