13 novembre 2006, 0h00
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«C’est parfois bon de ne pas toujours être le premier de classe», s’est exclamé vendredi à Genève Alain Robert, chef du Wealth Management Switzerland d’UBS, lors d’une rencontre avec la presse économique francophone. «En effet, c’est une situation qui permet de se remettre en question», a-t-il ajouté, en faisant référence aux chiffres du troisième trimestre publiés il y a dix jours qui ont déçus les analystes et le marché.
L’afflux net d’argent frais a atteint un record
Toutefois, en t...
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