23 septembre 2004, 0h00
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Toutes les formes ont été explorées. Toutes les combinaisons de couleurs ont été essayées. Tous les genres d’aiguilles, de bracelets et d’attaches ont été utilisés. Tous les métaux, du plus technologique au plus cher, ont été employés. Et comme les possibilités ne sont pas infinies, l’horlogerie a fini par perdre une part de son originalité. Elle s’est en quelque sorte banalisée.
Tout spécialiste en communication des marques vous le dira: pour bien vendre des montres, il faut faire rêver. Alors...
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