28 mars 2000, 0h00
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L‘euro déçoit. On peut attribuer cette évolution médiocre à beaucoup de facteurs rationnels: de l‘autre côté de l‘Atlantique le taux de croissance de l‘économie est nettement plus élevé, le marché du travail plus flexible, les finances publiques plus saines et la fiscalité plus avantageuse. Mais il y a tout de même autre chose: l‘euro n‘est la monnaie de personne. Personne ne parle en son nom. Aux Etats-Unis deux personnes sont continuellement au chevet du dollar et ont parfaitement leur rôle et...
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