15 février 2010, 0h00
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Le même mouvement a parcouru les places financières européennes vendredi. Un élan le matin suivi d’une cassure en milieu d’après-midi. Que certains expliquent par une croissance du PIB européen moins bonne que prévu (de +0,1% sur les trois derniers mois de 2009 comparé au trimestre précédent, alors que les économistes tablaient sur +0,3%) L’Allemagne est le frein principal. Par ailleurs, l’ouverture du marché US s’est effectuée sur des préalables faibles. Certes, les ventes de détail aux Etats-U...
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