03 avril 2001, 0h00
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Trois méga-banques japonaises nées de rapprochements, Sumitomo Mitsui Banking, Mitsubishi Tokyo Financial et UFJ, ont entamé hier leurs activités sans dissiper les doutes sur la solidité de ces colosses à la faible capitalisation et handicapés par des créances à risque.
Avec un bilan de 100.700 milliards de yens (915,4 milliards d’euros), Sumitomo Mitsui (SMBC) se positionne au deuxième rang national derrière Mizuho Holding né en septembre dernier du regroupement entre Dai-Ichi Kangyo Bank, Fuji...
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