22 octobre 2003, 0h00
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Le marché des introductions en bourse est, maintenant, quasiment fermé en Italie et cela même pour les toutes grandes entreprises. La multitude de sociétés insignifiantes et privées de capital, qui composent la structure même de l’économie italienne, n’a donc que peu de chance de réussir. Pour avoir une petite idée de la difficulté qu’il y a de lever des fonds en Italie, aujourd’hui, il suffit de prendre l’exemple de Trevisan, une toute petite entreprise établie à Vérone et spécialisée dans le v...
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