Travailler après 65 ans s’avère aussi nécessaire que souhaitable

«Ce qui manque encore, c’est la reconnaissance de la diversité des projets de vie individuels», observe l’auteur Klara Obermüller, 65 ans, qui propose dans son dernier livre des concepts pour une vie active après «la retraite». Intervenant dans le cadre d’une conférence spécialisée d’Avenir Suisse vendredi à Zurich, elle plaide pour des solutions flexibles et donc individuelles pour remplacer l’oisiveté systématique. De la norme étatique au concept individuel «Chaque période de la vie a se...