07 décembre 2005, 0h00
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Mais jusqu’où donc va se loger la vanité motorisée? On sait que rien n’est plus frime que de rouler Maserati pour rallier son lieu de travail, de faire ses courses à la Migros en Range Rover et de déposer les enfants sur le trottoir de l’école primaire en Jeep Cherokee 3,9. Pour les dimanches d’été, on sort le roadster BMW ou la Rolls Corniche. C’est normal tant qu’il y a de l’argent à jeter par les fenêtres. Après tout, c’est la demande qui suscite l’offre et ça fait marcher le business.
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