02 février 2006, 0h00
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Parce qu’il n’y a que peu de nominations aux Etats-Unis qui survivent à un changement de président, celles (à vie) à la Cour suprême sont scrutées avec soin. Celles de John Roberts et de Samuel Alito par George Bush viennent, par exemple, d’être interprétées comme une droitisation de la haute cour. Moins polémiques, les nominations au Conseil des gouverneurs de la Fed (dont les mandats sont de quatorze ans) n’en sont pas moins importantes. Or, le départ d’Alan Greenspan et sa relève, hier, par ...
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