16 avril 2009, 0h00
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A l’heure où les banques affirment haut et fort qu’elles veulent délaisser les produits financiers sophistiqués pour se concentrer sur une gestion plus traditionnelle, le monde de la microfinance navigue curieusement à contre-courant. Et se lance à l’assaut des marchés financiers.
Il bénéficie d’ailleurs d’un argument choc: les portefeuilles à risque (comportant des microentrepreneurs qui ne sont pas venus payer leur coupon durant les 30 derniers jours) n’atteignent que près de 2% actuellement....
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