09 août 2004, 0h00
Partager
Une étoile de l’univers internet, le groupe italien Tiscali, est contrainte de vendre ses actifs pour pouvoir honorer l’an prochain le remboursement d’une émission obligataire de 250 millions d’euros et éviter la disparition.
Son fondateur, Renato Soru, 47 ans, a été surnommé le «Bill Gates italien». Mais le succès lui a donné l’envie du pouvoir et il a cédé la direction de son groupe pour entrer en politique. Candidat de l’opposition de centre-gauche en Sardaigne, son île natale, il a pris en ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT