24 août 2007, 0h00
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Heureux qui, comme tout bon Suisse, est adroit de l’allume-gaz. Car aux abords des stands de tir d’Helvétie, à l’heure du rituel annuel imposé par l’armée, l’opprobre guette les manchots de la gâchette. Intéressons-nous quelques instants à cette minorité silencieuse, dont votre serviteur s’érige en porte-parole, et que la seule évocation des tirs obligatoires suffit à replonger dans les abîmes du cauchemar vert-de-gris. Tranche de vie.
Premier symptôme: la veille de l’exercice, le godichon du t...
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