29 juin 2001, 0h00
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Une coupe de cheveux en avant, des lunettes rondes et une villa, temple de la domotique. Dans Antitrust qui sort sur les écrans romands cette semaine, l’acteur Tim Robbins campe un Bill Gates manipulateur et sans scrupules. Trop, sans doute, pour n’être vrai ailleurs que dans l’imagination d’une génération d’informaticiens pour qui il est à la fois modèle et repoussoir. Celui qui ne considère l’informatique que comme un produit alors que pour ces petits génies c’est un art, digne de détrôner la ...
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