14 janvier 2005, 0h00
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Il n’a pas vraiment le physique du poste, le nouveau directeur général du Groupe Edipresse. Dégingandé, le sourire désarmant du haut de son double mètre, la voix douce et le regard ingénu, Tibère Adler a gardé une allure adolescente. Cette particularité, c’est peut-être l’arme fatale du patron : c’est un homme qui sait où il va, il n’élève pas le ton, il a le tutoiement facile et le sens de l’équipe ; il a toujours une tactique ou une stratégie prête à servir, il est convaincant. Des qualités qu...
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