02 mai 2001, 0h00
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Lorsqu’elle a été créée, la Fondation Avenir Suisse avait le vent en poupe : les marchés étaient haussiers – rares étaient ceux qui osaient dire qu’il fallait résister à la libéralisation. Aujourd’hui, le climat est différent et Thomas Held, son directeur, en est bien conscient. Mais cela ne l’ébranle pas, tout simplement parce que la Fondation Avenir Suisse n’a pas été créée pour accélérer le processus de libéralisation par une politique au jour le jour. Il répond ici aux questions de l’agefi.
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