21 août 2006, 0h00
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La tempête qui s’est abattue ces dernières semaines autour de la fusion de Swissfirst et les commentaires que celle-ci a déclenchés sont tout à fait révélateurs d’un mal qui frappe notre pays depuis des années et des années: un masochisme certain. On n’accepte plus ceux dont la tête dépasse, et encore moins ceux qui ont réussi et gagné quelque argent. Et Thomas Matter, son patron, est condamné par les médias alors qu’il devrait, pour le moins, bénéficier de la présomption d’innocence, comme n’im...
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