09 juillet 2003, 0h00
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Depuis la mi-mars, on observe un sensible raffermissement des télécoms. Mais gare, il est trop tôt pour crier victoire: si la tendance principale est haussière, la volatilité reste très élevée. Plutôt que d’amélioration, on préférera donc parler de stabilisation du secteur. Partant de là, les stratégies divergent. Puisqu’on parle de «convalescence», c’est peut-être le moment de se pencher sur les grands malades: j’ai nommé KPN, Deutsche Telekom ou France Telecom, tous en cours de restructuration...
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