21 mars 2006, 0h00
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Lancées par les socialistes, les premières escarmouches précédant le débat sur la loi sur le CO2, prévu ce jeudi, ont fourni l’occasion à Moritz Leueneberger de maintenir la pression sur le Parlement et l’économie. Répondant à plusieurs questions lancées par ses amis politiques lundi après-midi, le chef du DETEC a ainsi rappelé que la Suisse s’est engagée à respecter les accords de Kyoto. Si elle devait ne pas y parvenir, elle serait contrainte d’acheter des certificats d’émission de CO2.
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